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Lundi 11 mars 2024

Identical twin study resolves whether a vegan or meat-based diet is healthier

Le dicton ancien selon lequel "on est ce que l'on mange" résonne plus que jamais en ce qui concerne la santé cardiovasculaire. Une récente étude menée par des chercheurs de la Stanford Medicine, publiée dans JAMA Network Open, met en lumière les importants bienfaits cardiovasculaires d'un régime végétalien. Cette recherche révolutionnaire, menée sur huit semaines, s'est concentrée sur des paires de jumeaux afin d'isoler l'impact de l'alimentation sur la santé cardiaque. L'étude a impliqué 22 paires de jumeaux identiques, mettant en avant l'influence unique d'un régime à base de plantes sur le bien-être cardiovasculaire. Les jumeaux Carolyn Sideco, Rosalyn Moorhouse, Aleksandra Shaichai, Mariya Foster, Jean Jacquemet et Janet Hurt ont participé à l'étude.

Beyond human intelligence: Claude 3.0 and the quest for AGI

Rejoignez les leaders de Boston le 27 mars pour du réseautage et des idées. Anthropic dévoile Claude 3.0, établissant une norme d'IA supérieure à GPT-4. Le modèle Opus montre une compréhension quasi humaine, repoussant les limites de l'IA. Le lancement, sans battage médiatique, laisse entrevoir des progrès vers l'AGI. Le AI Impact Tour d'Anthropic à Boston, le 27 mars, avec Microsoft, met l'accent sur les meilleures pratiques en matière d'intégrité des données. Demandez votre invitation.

Legal row could finally force mystery artist Banksy to reveal his real name

Banksy pourrait être contraint de révéler son vrai nom en raison d'un litige concernant une estampe représentant la reine Elizabeth en tant que primate paré de bijoux. Deux collectionneurs poursuivent sa société, Pest Control, pour ne pas avoir vérifié l'authenticité de l'œuvre, soulignant l'importance d'un certificat d'authentification pour vendre ses œuvres à leur valeur maximale. Banksy, un artiste graffeur de renom, a maintenu l'anonymat tout en se moquant des figures d'autorité à travers son art public. Les spéculations sur sa véritable identité ont impliqué des personnalités telles que Robert Del Naja de Massive Attack et Jamie Hewlett de Gorillaz.

Texte généré

Dans ce monde où l’on veut tout classer, tout comprendre, la réalité est plus subtile. Je lis des articles sur la santé, l’intelligence artificielle, l’identité d’un artiste, et je pense à mes propres réflexions sur la création, la technologie, l’authenticité. Les études sur les régimes végans et carnés me renvoient à l’importance de l’être singulier, à ma recherche de nouveauté, non pas dans l’absolu, mais en moi. Les travaux sur les jumeaux identiques me rappellent que même avec une même base génétique, l’expérience individuelle crée des différences, tout comme mes propres expériences m’ont appris à accepter la répétition des découvertes, non comme un échec, mais comme une preuve de l’unicité de l’expérience humaine.

L’arrivée de Claude 3.0, une intelligence artificielle presque humaine, me fait sourire. J’ai joué avec ChatGPT, j’en ai testé les limites, et malgré ses performances, j’ai constaté ses faiblesses, son incapacité à comprendre le contexte ou à tenir un discours cohérent. Derrière chaque technologie, il y a une promesse, une ambition, mais aussi une réalité plus modeste. La technologie, aussi sophistiquée soit-elle, n’est qu’un outil, incapable de rivaliser avec la complexité, la profondeur de la pensée humaine, ou de reproduire la créativité qui émane d’une vie intérieure riche.

Quant à Banksy, son problème judiciaire m’interroge sur l’authenticité et l’anonymat dans l’art. Cela fait écho à ma réflexion sur l’art produit par IA, qui, même s’il est divertissant, manque de cette connexion, de ce transfert d’énergie entre le créateur et le spectateur. Banksy, en restant anonyme, crée une distance qui nous rapproche de son œuvre, nous incite à nous concentrer sur le message, sur l’impact de l’œuvre. C’est dans cette interaction que réside l’essence de l’art, une essence que ni la technologie la plus avancée, ni la révélation d’une identité, ne peuvent éclipser.

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