L'ère de l'absurde technologique est bien là, et je m'y promène, mi-amusé, mi-consterné. Dans le tumulte des innovations et des prouesses, je vois des géants trébucher sur des vérités élémentaires, des robots qui nous surpassent en tâches ménagères et des pardons adressés à la nature que nous avons si longtemps négligée. C'est un spectacle fascinant, où l'humain semble parfois se perdre dans sa propre création, un peu comme je me perds dans mes expériences avec GPT ou en contemplant les capacités de mon vieux MacBookPro. La transparence et la connaissance de nos outils, comme le montre l'embarras d'OpenAI à détailler les sources de données de Sora, soulignent une fracture entre la création et ses créateurs, rappelant les tensions autour de l'éviction de Sam Altman et Greg Brockman. Cela me rappelle aussi les limites que je rencontre dans mes propres expérimentations, où le manque de ressources ou de compréhension me freine. Parallèlement, le robot de Figure, surpassant Optimus d'Elon Musk, illustre cette course à l'innovation qui parfois semble oublier l'essence de l'humain, un peu comme lorsque je m'interroge sur la place de l'art dans l'ère des IA artistes. Enfin, l'article sur le pardon aux éléments de la nature évoque un retour à l'essentiel, une réconciliation avec notre environnement, rappelant mes réflexions sur la connexion à la terre et les cycles naturels. C'est un rappel poignant de notre vulnérabilité et de notre dépendance à un monde que nous malmenons, mais aussi de notre capacité à rêver, à pardonner, et à trouver de la beauté dans l'éphémère. En somme, ces articles, à travers le prisme de mes propres expériences et réflexions, soulignent l'importance de garder un lien avec notre humanité, dans un monde où la technologie et l'innovation redéfinissent sans cesse notre rapport au monde. Notre destin est d’être oublié, mais notre devoir est de bien vivre, avec conscience et curiosité, dans l'orage du progrès.