Lundi 25 mars 2024
En 1889, le médecin français François-Gilbert Viault découvrit la capacité du corps humain à produire davantage de globules rouges sur demande. Les scientifiques émirent des théories sur l'érythropoïétine dans les années 1900, plus tard identifiée dans l'urine après des décennies. Des biologistes israéliens identifièrent les cellules Norn dans le rein, sensibles aux niveaux d'oxygène bas. Des chercheurs de l'Université Stanford programmèrent des ordinateurs pour apprendre la biologie de manière autonome, menant à la découverte des cellules Norn et à des avancées dans la compréhension du développement cellulaire.
Drug-Resistant Bacteria Stymied by AI-Designed Antibiotics
Des chercheurs de l'Université Stanford et de l'Université McMaster ont développé un modèle d'intelligence artificielle pour concevoir des molécules ciblant Acinetobacter baumannii. Ils ont synthétisé six nouvelles molécules présentant une activité antibactérienne contre A. baumannii et d'autres agents pathogènes. Cette étude fait progresser l'intelligence artificielle générative pour la découverte d'antibiotiques. Les pathogènes ESKAPE représentent une menace mondiale en raison de la résistance aux antibiotiques. A. baumannii, un pathogène prioritaire, nécessite de nouveaux antibiotiques de manière urgente. Les chercheurs ont créé SyntheMol, en combinant des modèles de prédiction de propriétés et une intelligence artificielle générative pour le développement d'antibiotiques.
Archaeologists find ‘Gates Of Hell' in Saudi Arabia
Des archéologues ont découvert des preuves d'activités humaines anciennes dans la région inhospitalière de Harrat Khaybar en Arabie Saoudite, connue pour son activité volcanique.
Le site renferme des milliers de structures datant de 4 000 à 7 000 ans, dont des rectangles "mustatil" aux usages encore flous.
Malgré les conditions difficiles, la région était autrefois plus verdoyante, soutenant des populations importantes et des troupeaux.
Les chercheurs estiment que ces découvertes pourraient remodeler les perceptions de l'histoire du Moyen-Orient, avec des hypothèses sur des usages rituels potentiels des structures.

Texte généré
La science est un roman qui ne finit jamais. J’ai appris à respirer, à écrire avec des IA, à m’émerveiller devant des ruines ou des découvertes technologiques. Ces articles parlent de découvertes, d’innovations, de mystères. Ils me rappellent que la réalité est plus romanesque que la fiction, et que notre connaissance du monde est en perpétuelle évolution. Les cellules Norn, les antibiotiques conçus par IA, les Portes de l’Enfer en Arabie Saoudite, tout cela prouve que nous vivons dans un roman, dont chaque nouvelle découverte est un rebondissement.
La technologie, qu’elle soit employée pour comprendre notre biologie ou pour lutter contre des bactéries résistantes, me fascine et m’effraie. Elle me renvoie à mon expérience avec l’IA en écriture, à ce sentiment d’être à la fois maître et élève. L’IA, capable de concevoir des molécules ou de déchiffrer notre physiologie, me montre que nous entrons dans une ère où l’homme et la machine co-créent le futur. Mais, comme dans mes réflexions sur l’écriture et la technologie, je m’interroge sur la frontière entre l’outil et le créateur.
Enfin, l’exploration de sites anciens, où l’histoire se mêle à la légende, me renvoie à mes voyages et à l’importance de l’imagination pour comprendre notre passé. Les Portes de l’Enfer ne sont pas si différentes des ruines qui m’ont inspiré, des lieux qui réveillent en nous des histoires enfouies. Chaque découverte, chaque innovation, chaque mystère résolu ou posé, nous invite à réfléchir à notre place dans l’univers, à notre rapport au passé, au présent et au futur. La magie n’est pas de retrouver le temps perdu, mais de réveiller l’imagination pour dialoguer avec les fantômes de l’histoire et de la science.
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