Mardi 9 avril 2024
Generative artificial intelligence is simply a waste of our time and money
Cet article aborde les coûts sociétaux de l'IA générative, qui imite les actions humaines mais manque d'une véritable intelligence. Le développement de l'IA nécessite une capacité de calcul et une énergie significatives, entraînant des conséquences environnementales et une hausse des prix de l'énergie. De plus, la dépendance de l'IA envers l'investissement en capital dans l'infrastructure informatique détourne des ressources de potentiels usages plus bénéfiques. L'augmentation du financement en capital-risque dans l'IA générative suscite des inquiétudes quant à une éventuelle explosion de la bulle de l'engouement pour l'IA et au gaspillage résultant des fonds d'innovation. De plus, la prolifération de contenus générés par l'IA risque de submerger Internet avec une "IA des Habsbourg", entraînant des conséquences imprévues.
A simple ChatGPT prompt turns a classic story like Sherlock Holmes into a game
La Bibliothèque nationale de Singapour introduit Playbrary, permettant aux utilisateurs de transformer plus de 1 000 livres du domaine public tels que Sherlock Holmes et Orgueil et Préjugés en jeux d'aventure en utilisant GenAI comme ChatGPT. Les utilisateurs peuvent ajouter des rebondissements aux récits et jouer en tant que personnages comme Sherlock Holmes pour résoudre des affaires. L'initiative vise à promouvoir de bonnes habitudes de lecture et à explorer divers genres de livres. La NLB prévoit d'élargir l'inventaire de jeux et d'améliorer l'expérience de jeu grâce à un service d'abonnement payant à ChatGPT.
How medieval people described solar eclipses - Medievalists.net
Les éclipses solaires captivent les humains à travers l'histoire. Les récits médiévaux révèlent diverses réactions des gens et des animaux. Les astronomes prédisaient avec précision les éclipses, ce qui contrastait avec la surprise du public. Certains considéraient les éclipses comme des présages d'événements importants tels que la chute d'un royaume. Les récits varient du scientifique au superstitieux.
Angleterre – 20 juin 540 : la Chronique anglo-saxonne note une éclipse solaire avec des étoiles visibles.
Constantinople, Empire byzantin – 22 décembre 968 : l'Histoire de Léon le Diacre raconte une éclipse unique ressemblant à la Passion du Seigneur.
Le Caire, Égypte – 13 décembre 977 : des érudits se rassemblent pour observer une éclipse dans la nouvelle ville.
Texte généré
L’intelligence artificielle, cette grande illusion de notre temps, nous promet tout, mais à quel prix ? Je me suis souvent demandé quel pouvait être l’impact de ces technologies sur notre environnement, sur notre créativité, sur notre perception du monde. L’article sur les coûts sociétaux de l’IA générative m’a renvoyé à mes propres interrogations sur cette course à une intelligence artificielle qui n’est peut-être qu’un immense gaspillage de ressources. Je pense à mes expériences avec ChatGPT, à la fascination qu’elles ont pu exercer, mais aussi à la valeur de ces outils dans notre quête de sens et d’authenticité.
L’initiative de la National Library Board de Singapour, qui transforme des classiques de la littérature en jeux d’aventure grâce à l’IA, illustre bien cette double nature de la technologie, à la fois source d’innovation et de superficialité. J’ai moi-même joué avec une IA, exploré des idées de dystopie, mais aussi de nouvelles formes de narration. Mais en déléguant notre créativité à des machines, ne risquons-nous pas de perdre ce qui fait de nous des êtres uniques, capables de puiser dans les profondeurs de notre expérience humaine, bien au-delà des algorithmes ?
L’article sur les éclipses solaires au Moyen Âge me pousse à réfléchir à notre rapport au temps et à l’univers. Comme nos ancêtres médievaux, nous cherchons des réponses dans les étoiles. Mais alors que nous nous tournons vers l’IA pour comprendre le monde, n’oublions pas que notre capacité à nous émerveiller, à observer le soleil levant ou à imaginer des éclipses dans un passé lointain, reste notre plus précieuse ressource. Peut-être devrions-nous, comme je l’ai fait en contemplant KIC 8462852, privilégier l’émerveillement à la peur, l’optimisme technologique à la collapsologie, tout en gardant à l’esprit les limites de notre propre création. En fin de compte, l’art de vivre pourrait bien consister à naviguer entre ces mondes, réels et imaginaires, avec sagesse et humilité.
Coût de génération : 8537 tokens/0.07$