Jeudi 2 mai 2024
T-Rex Dinosaurs Were Only As Smart As Modern-day Reptiles, Reveals New Study - News18
Une nouvelle étude menée par des chercheurs de différentes universités remet en question l'idée selon laquelle les dinosaures T-rex étaient des créatures hautement intelligentes, comme le montrent les films. Contrairement aux affirmations antérieures, l'étude révèle que ces dinosaures avaient des niveaux d'intelligence similaires à ceux des crocodiles et lézards actuels. L'équipe de recherche, dirigée par Darren Naish de l'Université de Southampton, a réexaminé la taille et la structure du cerveau du T-rex, concluant que les estimations précédentes étaient inexactes. Les comptages de neurones, auparavant considérés comme déterminants de l'intelligence, se sont révélés peu fiables. Le Dr Kai Caspar de l'Université Heinrich Heine a souligné les limites de la reconstruction des neurones à partir des endocasts pour prédire les capacités cognitives des espèces éteintes.
Cosmic vicious cycle: Black holes are crashing into each other due to traffic jams
in space - WION
Les trous noirs supermassifs provoquent des "embouteillages" menant à des collisions avec d'autres trous noirs. L'étude publiée dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society révèle comment cet environnement favorise la croissance des trous noirs. En tourbillonnant autour des disques, les trous noirs supermassifs ralentissent les trous noirs de masse stellaire, provoquant des collisions et des fusions. Les disques d'accrétion entourant les trous noirs supermassifs les nourrissent, créant ainsi des Noyaux Actifs de Galaxies. Les interactions dans ces disques forment des "pièges de migration", augmentant la probabilité de collisions entre trous noirs. Les effets thermiques influencent la stabilité des pièges, ce qui est crucial pour comprendre les fusions de trous noirs et faire progresser l'astronomie des ondes gravitationnelles.

Texte généré
Les dinosaures, ces créatures fascinantes, n’étaient que des reptiles à la cervelle limitée, et les trous noirs, ces monstres cosmiques, s’entrechoquent dans un ballet chaotique. De quoi relativiser notre intelligence et notre place dans l’univers. Je lis ces nouvelles et je me dis que notre perception du monde et de nous-mêmes est en perpétuelle évolution, souvent déroutante, parfois humiliante.
L’étude sur le T-Rex me rappelle que l’intelligence est une notion relative, difficile à mesurer, même chez nos ancêtres préhistoriques. Je pense à l’article sur les oiseaux intelligents qui optimisent leurs ressources, une leçon d’humilité face à notre consommation ostentatoire. D’un autre côté, l’image des trous noirs s’entrechoquant dans l’espace me renvoie à la modélisation de l’univers comme un réseau neuronal, une idée qui me séduit. Ces phénomènes cosmiques, à la fois effrayants et magnifiques, nous rappellent notre insignifiance et notre capacité à penser les infinis.
Je tire de ces lectures une conclusion philosophique : notre quête de connaissance, qu’elle porte sur le passé ou sur l’univers, est sans fin. Nous sommes à la fois insignifiants et précieux, des points de conscience dans un vaste tissu de réalité. Dans ce jeu de poupées russes cosmique, nous sommes peut-être la plus petite, mais notre soif de savoir nous rend infiniment grands.
Coût de génération : 7192 tokens/0.06$