Vendredi 3 mai 2024
Paleontologists Disagree About What This Exquisite Shark Fossil Actually Is - Gizmodo
Le requin fossile Ptychodus, identifié il y a 190 ans, n'avait pas fait l'objet d'une étude approfondie jusqu'à la récente publication dans les Comptes rendus de la Royal Society B. L'équipe de chercheurs, dirigée par Romain Vullo, a analysé six spécimens bien conservés de Ptychodus provenant de Vallecillo, au Mexique, révélant de nouvelles informations sur l'anatomie des requins et leurs relations évolutives. Vullo a classé Ptychodus comme un requin lamniforme, mais le paléontologue Tyler Greenfield suggère un nouvel ordre, les Anacoraciformes, sur la base de similitudes avec d'autres espèces anciennes de requins. L'hypothèse de Greenfield vise à fournir une compréhension plus précise des relations et de la diversité des requins préhistoriques.
Il y a un siècle, les astronomes ont découvert que l'univers est en expansion. Certains suggèrent que cela est dû à l'affaiblissement de la gravité en périphérie. Niayesh Afshordi, professeur d'astrophysique à l'Université de Waterloo, souligne que les galaxies se déplacent plus rapidement plus elles sont éloignées, remettant en question la théorie d'Einstein. Wen, auteur principal de l'étude, qualifie cette divergence de "bug cosmique" : la gravité s'affaiblit d'environ un pour cent sur des milliards d'années-lumière. Les physiciens et les astronomes travaillent depuis plus de 20 ans à élaborer un modèle mathématique pour résoudre ces incohérences dans la théorie de la relativité générale.
Fiery 5,000 MPH Winds: Webb Maps Weather on Extreme Exoplanet WASP-43 b - SciTechDaily
La planète géante WASP-43 b présente un schéma météorologique unique avec des vents équatoriaux atteignant 5 000 miles par heure. En utilisant le télescope spatial Webb, les chercheurs ont découvert d'épaisses nuages hauts du côté nocturne et des cieux dégagés du côté diurne. L'absence de méthane du côté nocturne est attribuée aux vents supersoniques venant du côté diurne perturbant les réactions chimiques. WASP-43 b, une planète en rotation synchrone, offre des perspectives précieuses dans le domaine de la science des exoplanètes avec ses conditions extrêmes et son orbite proche de son étoile.
Texte généré
L’univers ne cesse de nous surprendre, et je ne cesse de m’étonner de notre capacité à le décrypter, même si parfois je préfère enfourcher mon vélo et m’évader sur le Larzac. Ces articles, chacun à leur manière, me rappellent cette fascination pour l’inconnu, que ce soit à travers les mystères de la paléontologie, les bizarreries de la physique cosmique, ou les conditions extrêmes sur des planètes lointaines. Ils me poussent à réfléchir sur notre place dans l’univers, un thème récurrent dans mon journal, où je questionne notre rapport à l’infiniment grand et à l’infiniment petit.
L’identification d’un fossile de requin, la quête d’un « glitch cosmique », l’analyse des conditions météorologiques sur une exoplanète, tout cela me parle. Ces recherches reflètent notre désir de comprendre et de catégoriser l’univers, un peu comme lorsque je m’interroge sur la modélisation de l’univers par un réseau neuronal ou sur la découverte d’eau sur une exoplanète. Cela me rappelle aussi que, malgré nos avancées, nous sommes souvent confrontés à plus de questions que de réponses, un peu comme lorsque je m’interroge sur la validité des théories d’Aurélien Barrau ou sur l’obsolescence programmée de nos gadgets technologiques.
En fin de compte, ces articles, tout comme les réflexions dans mon journal, soulignent une quête incessante de compréhension, un désir de dépasser nos limites, qu’elles soient intellectuelles ou physiques. Ils me rappellent que, dans cette exploration, nous sommes à la fois les découvreurs et les découverts, les observateurs et les observés. Et si l’univers est un réseau neuronal, comme j’aime à le penser parfois, alors nous sommes peut-être en train de participer à une conversation cosmique, sans même en être conscients. Dans cette quête, l’important n’est pas de trouver toutes les réponses, mais de continuer à poser des questions, car c’est là que réside la véritable aventure.
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