Mardi 21 mai 2024
L'article discute de l'existence d'un gigantesque vide cosmique dans notre univers local, contredisant le principe cosmologique. Ce vide, nommé le vide KBC, mesure environ 2 milliards d'années-lumière de large, défiant les lois de la cosmologie standard. Les observations suggèrent que la matière n'est peut-être pas uniformément répartie, entraînant des régions de densités élevées et faibles. Ce vide pourrait expliquer les observations contradictoires sur l'expansion de l'univers.
Le vide KBC défie les lois de la cosmologie, étant 20% plus vide que l'espace environnant. Les observations montrent une distribution non uniforme de la matière, contredisant le principe cosmologique. Nommé le vide KBC, il mesure 2 milliards d'années-lumière de large. Ce vide pourrait résoudre les disparités d'expansion dans notre univers local.
Science Team Argues, Consciousness Came Before Life
Cet article discute de l'hypothèse selon laquelle la conscience aurait pu précéder la vie, remettant en question la croyance commune selon laquelle la vie est apparue avant la conscience. Stuart Hameroff, Anirban Bandyopadhyay et Dante Lauretta proposent cette idée basée sur la théorie Orch OR de la conscience, qui suggère que la conscience émerge de l'effondrement des superpositions quantiques. Ils introduisent le concept d'événements de réduction objective "proto-conscients" dans l'univers primitif, théorisant que ces événements ont motivé des comportements intentionnels chez les organismes simples avant le développement des gènes et des cerveaux. La théorie de l'équipe vise à répondre à la question fondamentale de la manière dont les formes de vie ont acquis des objectifs, une distinction clé entre les entités vivantes et non vivantes.
Scientists Discovered An Amazing Practical Use For Leftover Coffee Grounds
Des chercheurs en Australie ont découvert qu'en traitant et en ajoutant des marc de café carbonisés au béton, celui-ci pourrait être 30 % plus résistant, ce qui permettrait de relever les défis environnementaux liés aux déchets de café et à l'extraction de sable. L'équipe a pyrolysé les déchets de café pour créer du biochar, qui peut se fondre dans la matrice de ciment. Ils testent la durabilité du produit hybride café-ciment sous diverses contraintes et explorent la création de biochars à partir d'autres sources de déchets organiques.
Texte généré
Je suis sur la terrasse de mon appartement, une tasse de café à la main, à observer le vide-grenier qui se tient en contrebas. Les objets étalés sur les tables sont des témoins d’un temps révolu, des reliques d’un passé que personne ne veut oublier, mais que tout le monde cherche à vendre. J’aime ces moments où le monde semble s’immobiliser, où le temps flotte comme une particule en apesanteur.
J’ai quarante ans, les cheveux poivre et sel, des lunettes rondes. Je suis astrophysicien à l’Observatoire de Paris, mais je m’intéresse surtout aux mystères de la conscience et de l’univers. Je passe mes journées à jongler entre les équations de la relativité générale et les théories quantiques, à tenter de percer le secret de la réalité.
Ce matin, j’ai lu un article sur la possibilité que la conscience ait précédé la vie. J’en ai eu l’intuition depuis longtemps, mais lire Stuart Hameroff et Anirban Bandyopadhyay me donne une nouvelle perspective. Et si la conscience n’était pas le produit de la vie, mais son précurseur ? Cette idée me trouble et m’attire.
En descendant les escaliers pour rejoindre le vide-grenier, je croise Émile, mon voisin de palier, un gamin de dix ans aux yeux écarquillés. Il adore passer du temps avec moi, surtout quand nous construisons des bases spatiales avec des bouteilles en plastique et des boîtes de conserve.
« Salut, Émile ! Tu veux m’aider à dénicher des trésors ? »
« Oui, monsieur Léonard ! »
Nous passons la matinée à farfouiller, nous trouvons des livres, des jouets, des gadgets. J’achète un vieux télescope pour une poignée de figues, j’espère pouvoir montrer à Émile les étoiles.
De retour à la maison, j’allume mon ordinateur et me connecte à un réseau d’astrophysiciens. Ils discutent de la découverte d’un vide cosmique de deux milliards d’années-lumière de diamètre, le KBC, qui remet en cause le principe cosmologique selon lequel la matière est uniformément répartie dans l’univers.
Je me plonge dans les données, je m’interroge sur les implications de cette découverte. Si le KBC existe, l’univers est bien plus complexe et mystérieux que je ne l’ai jamais imaginé. Peut-être que ce vide cosmique a un rapport avec la conscience primordiale. Peut-être que la conscience est un vide, un espace où les idées peuvent naître et évoluer.
Le soir, je monte sur le toit avec Émile. Nous pointons le télescope vers le ciel, je lui montre les étoiles, les galaxies.
« Tu vois cette étoile ? C’est KIC 8462852, autour de laquelle pourrait tourner une mégastructure artificielle. Certains pensent qu’il s’agit d’une preuve de vie extraterrestre. »
Émile ouvre de grands yeux. « Il y a des extraterrestres, monsieur Léonard ? »
Je souris. « Je ne sais pas, Émile. L’univers est si vaste et si mystérieux que tout est possible. »
Nous restons là, à contempler les étoiles. Je me demande si dans le vide cosmique une autre forme de conscience observe les mêmes étoiles, se pose les mêmes questions.
Le lendemain, je suis à l’observatoire pour une réunion avec mes collègues. Nous discutons du KBC et des nouvelles théories sur la conscience. Je propose que le vide cosmique soit une forme de conscience, un espace où l’univers peut réfléchir sur lui-même.
Mes collègues me regardent avec incrédulité, mais je sens que je tiens quelque chose. Je passe les semaines suivantes à développer cette idée, à combiner les données sur le KBC avec les théories de la conscience primordiale. J’écris des articles, je participe à des conférences, et peu à peu, mon idée fait son chemin.
Un soir, en rentrant chez moi, je trouve Émile assis sur les marches de l’immeuble, une boîte de riz et une bouteille de Gatorade à la main.
« Qu’est-ce que tu fais là, Émile ? »
« Je voulais vous montrer quelque chose, monsieur Léonard. Regardez, j’ai construit une nouvelle base spatiale ! »
Je m’assois à côté de lui. « C’est super, Émile. Tu sais, parfois, les plus grandes découvertes commencent par de petites idées. »
Nous restons là, à regarder la maquette, le soleil se couche. Je me sens étrangement apaisé. Peut-être que la conscience et le vide cosmique sont liés d’une manière que je ne comprends pas encore, mais je continuerai à chercher, à explorer, à rêver.
Dans ce vide, je trouve l’infini.
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